Solitude : combien de temps peut-on la supporter selon les scientifiques ?
10 déc. 2025
La solitude fait partie de nos vies. Certains la recherchent, d’autres la redoutent. Mais une question revient souvent : combien de temps peut-on rester seul sans que cela n’affecte notre bien-être ? Une étude récente apporte des éléments de réponse, parfois étonnants.
Dans cet article, nous faisons le point sur ce que dit la science et sur la manière dont l’accompagnement humain, comme celui proposé par Tango, peut réellement changer la donne.

La solitude : pas seulement une question de temps
Ce que dit la science
Les recherches citées par Cap Retraite montrent que l’impact de la solitude dépend moins du nombre d’heures passées seul que de la qualité du lien social global.
En d’autres termes, on peut passer une journée entière seul sans en souffrir si l’on se sent relié à d’autres. À l’inverse, on peut vivre entouré et se sentir pourtant très seul.
Le cerveau n’aime pas l’isolement prolongé
Les neuroscientifiques soulignent que la solitude chronique augmente le stress, favorise l’anxiété, fragilise la mémoire et peut accélérer l’apparition de troubles cognitifs chez les seniors.
Notre cerveau est naturellement conçu pour le lien humain. Il a besoin de sentir que nous comptons pour quelqu’un.
Alors… combien de temps peut-on rester seul ?
La réponse : cela dépend de chacun
Certaines personnes supportent plusieurs heures de solitude sans inconfort, d’autres beaucoup moins.
Cependant, les études montrent qu’au-delà de six à huit heures d’isolement réel chaque jour, les premiers effets négatifs peuvent apparaître chez de nombreux seniors.
Ce qui fragilise le plus
Les éléments qui accentuent la sensibilité à la solitude sont la perte d’autonomie, les deuils, la retraite, l’éloignement géographique et l’absence de routine sociale.
Comment Tango aide à réduire l’impact de la solitude
Chez Tango, nous accompagnons chaque jour des personnes âgées qui vivent seules ou qui manquent de contact social. Notre mission est simple : réintroduire du lien humain dans leur quotidien grâce à des jeunes accompagnants formés et bienveillants.
Nous créons des binômes intergénérationnels en associant le senior et le jeune selon leurs affinités et passions communes, de sorte que le jeune devienne comme un deuxième petit enfant.
Concrètement, quel est l’impact ?
Nos accompagnants prennent du temps pour discuter, partager un moment agréable, accompagner lors de sorties, aider dans les tâches du quotidien ou encore stimuler la mémoire.
Quelques heures avec un accompagnant Tango suffisent souvent à redonner le sourire et à limiter les effets nocifs de la solitude.
Appel à l’action
Si vous souhaitez offrir plus de présence à un proche, découvrez notre accompagnement personnalisé sur tango.fr.
👉 Contactez-nous pour en savoir plus sur nos services d’accompagnement à domicile, en remplissant le formulaire ici, par mail à contact@tango.fr ou par téléphone au 01 73 73 29 65.
Pourquoi l’humain reste la meilleure prévention
Les scientifiques le rappellent : le meilleur antidote à la solitude est un lien humain de qualité.
Il n’a pas besoin d’être long ni intense, mais régulier, authentique et rassurant.
C’est exactement ce que Tango met en place au quotidien : une présence simple, chaleureuse et profondément humaine.
FAQ
1. Pourquoi la solitude est-elle plus difficile à vivre chez les seniors ?
Les occasions sociales diminuent avec l’âge, notamment avec la retraite, la perte d’un conjoint ou la baisse de mobilité.
2. Est-il problématique d’être seul si l’on apprécie cela ?
Non. Ce qui compte, ce n’est pas la solitude en elle-même mais le sentiment de solitude. On peut aimer être seul tout en maintenant de bons liens sociaux.
3. Quels sont les signes qui montrent que la solitude devient nocive ?
Une baisse d’énergie, des troubles de la mémoire, une tristesse persistante, de l’anxiété ou une perte d’intérêt pour des activités habituellement appréciées.
4. Combien d’heures d’accompagnement Tango peuvent aider à lutter contre la solitude ?
Même deux ou trois heures régulières peuvent fortement réduire la sensation d’isolement.
5. Comment savoir si mon parent ou grand-parent souffre de solitude ?
Observez un retrait social, une perte d’appétit, un discours négatif, une baisse de motivation ou un manque d’envie. Dans le doute, mieux vaut en parler.


